Retrait masques graphène et effets nanoparticules hautement conductrices oxyde de graphène des vaccins corona ARNm
AFP /
L’Agence Française de Sécurité Sanitaire (ANSES) a émis une recommandation, ce mardi 14 décembre 2021, concernant certains masques respiratoires. Elle déconseille notamment l’utilisation des modèles FFP2 qui contiennent du graphène, un matériau synthétique potentiellement dangereux.
Cet avis a été émis après plusieurs mois d’évaluation des risques menés par l’ANSES, saisie par la Direction générale de la Santé.
En avril dernier, le Canada avait décidé de retirer temporairement du marché les masques FPP2 contenant du graphène, «sur la base d’un potentiel risque pulmonaire» lié à son inhalation, explique l’agence sanitaire.
Alors que ces masques sont également distribués en France, les autorités avaient alors décidé de les retirer du marché au mois de mai, le temps que des tests soient menés.
«Suite à son expertise, l’Agence souligne que les données disponibles ne mettent pas en évidence de situations d’exposition préoccupantes. Pour autant, il est impossible d’évaluer le risque pour la santé liée à l’exposition au graphène, en raison du manque d’information sur le graphène utilisé par les fabricants et sur la toxicité de cette substance, en particulier à long terme», indique donc l’ANSES dans un communiqué.
Retrait de masques FFP2 avec du graphène potentiellement toxiques
Le 25 mai 2021, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a mis en ligne une information sécurité de Santé publique France (SPF) concernant les masques FFP2 fabriqués par Shandong Shengquan New Materials.
Les lots des trois modèles SNN200647, SNN70369B et SNN70370B des masques FFP2 « Particle filtering half mask » labellisés « Biomass Graphène » sont concernés par cette alerte. Ces masques contiennent en effet du graphène qui peut présenter un « éventuel risque ». Santé publique France recommande donc de ne plus les utiliser et de mettre en quarantaine les boîtes qui pourraient être stockées dans les établissements. Toutes les structures de santé (y compris libérales) qui auraient en leur possession ces masques, doivent remplir un formulaire téléchargeable sur le site de l’ANSM et le retourner à SPF.
Le graphène, un nouveau nanomatériau qui aurait des propriétés antivirales et antibactériennes, suscite des interrogations sur sa toxicité au sein de la communauté scientifique. Mais c’est l’agence Santé Canada qui, fin mars 2021, a lancé en premier une alerte en rappelant des millions de ces masques FFP2 contenant du graphène, puis, le 2 avril, a invité les Canadiens à ne plus porter ces équipements de protection individuelle et à consulter un médecin s’ils les avaient utilisés. Selon des études réalisées sur les animaux, l’inhalation des particules de graphène peut provoquer des difficultés respiratoires. Le sujet est donc loin d’être anodin. De fait, Mediapart révèle que quatre ONG ont écrit le 6 avril à l’Union européenne pour que ces masques soient retirés du marché. Ce n’est pourtant que deux mois après que SPF s’est emparée du sujet.
Près de 17 millions de masques distribués
L’agence française a acheté ces masques lorsqu’elle a constitué des stocks d’État à partir d’avril 2020 afin de les distribuer aux établissements hospitaliers et aux professionnels de santé libéraux via les pharmacies. La mention indiquant la présence de graphène n’a alors pas attiré l’attention de SPF qui, pourtant, dans son cahier des charges notait que la mention de biocide (ce qui est le cas du graphène) était rédhibitoire. D’après l’enquête de Mediapart, 16,9 millions des FFP2 labellisés « Biomass Graphène » auraient ainsi été fournis au système de santé et 43,6 millions encore en stock seraient « gelés ». Une évaluation en Europe est en cours, l’Agence européenne des produits chimiques ayant été sollicitée pour une analyse des risques.
- On constate quelques mois après que ceux qui sont traités de complotistes par les autorités et les grands médias ont encore une nouvelle fois raison !
Communiqué : Génotoxicité de l’excipient des vaccins ARN
C’est maintenant une certitude qui est corroborée par la preuve de tests : l’excipient principal des vaccins corona ARN est constitué d’oxyde de graphène.
Les fact-checkers (journalistes qui vérifient les faits) qui ne cessent de réfuter cette affirmation dans les médias sont des désinformateurs outranciers, dans tous le cas la messe est dite, l’excipient des vaccins corona ARN est constitué de nanoparticules d’oxyde de graphène, point final sur cette constatation, de plus scientifiquement dans le cas présent cela ne peut évidemment en être autrement !
En conséquence, il va falloir étudier et mesurer s’il y a oui ou non il y a une augmentation de la conductivité des tissus du corps des personnes vaccinées suite à la magnétisation des nanoparticules neutres de l’oxyde de graphène injecté dans leur corps, ceci soit au contact de l’hydrogène du corps, soit par induction électromagnétique
Dit autrement, savoir si les nanoparticules d’oxyde de graphène qui sont hautement conductrices sont activées ce qui est certes génotoxique, mais cela ouvre aussi la voie à d’infinis autres problèmes positifs (ex. Alzheimer) mais surtout négatifs liés aux nouvelles technologies.
De plus à ce jour il est impossible de dire si les nanoparticules d’oxyde de graphène qui pénètrent dans le cerveau suite à l’ouverture de la Barrière Hémato-Encéphalique, sont compatibles avec les cellules dont les neurones, si elles perturbent les échanges électriques du cerveau, si elles se fixent par exemple sur les synapses, si elles entrent en résonance avec les Hautes Fréquences micro-ondes en MHz et GHz ce qui ouvre évidemment la voie à des applications technologiques comportementales, etc …
Dans tous les cas il y a une constatation, il semblerait que le corps puisse éliminer dans le temps une partie des nanoparticules de graphène des vaccins ARN, puisqu’il est nécessaire de réaliser des rappels afin de maintenir un niveau de potentiel magnétique essentiel au maintien de la protéine spike dans les plaquettes sanguines.
Action : l’organisation environnementale EHS FRANCE va aller à l’essentiel, ceci par des mesures comparatives, afin de savoir si oui ou non les personnes vaccinées ont une augmentation de la conductivité de leurs corps par magnétisation suite à l’injection comme excipient de nanoparticules en charge neutre d’oxyde de graphène dans leurs corps.
Nota : l’inverse de la conductivité est la résistivité, au niveau santé, plus la résistivité électrique du corps et en apports (nutriments solides et liquides) est importante et plus les organes peuvent éliminer les toxines, purifier le sang, etc … En conséquence l’injection de l’excipient exogène de nanoparticules d’oxyde de graphène des vaccins ARN qui apporte une capacité de porter un courant électrique endogène qui affaiblit la résistivité du corps ne peut qu’avoir un potentiel génotoxique dans le temps.
A suivre.