Solaris ESA centrale solaire spatiale

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ESA-AIRBUS Solaris Centrale Solaire Spatiale. Prochainement sera mise sur orbite par l’ESA acronyme d’Agence Spatiale Européenne, en collaboration avec Airbus, la première centrale solaire satellitaire appelée Solaris qui enverra par un faisceau d’irradiation micro-ondes GHz l’énergie du soleil équivalent à celle d’un réacteur nucléaire directement captée en orbite vers l’Europe. Et ce n’est pas de la science-fiction, la grandeur du satellite assemblé de façon modulaire par des robots autonomes comme sur une chaîne de montage aura déployé une grandeur colossale, soit plus de 2 km de long, donc plusieurs km² avec des milliers de panneaux photovoltaïques.

Le projet piloté par Siemens avec un test dans l’espace est prévu pour 2026, concrètement il est déjà très avancé, dans un vaste hangar près de Munich où sont réalisés les tests avec des antennes relais 4G, vient d’avoir lieu une démonstration pour les médias, 

un reportage va être diffusé. Pour être précis, les milliers de panneaux seront photovoltaïques d’un côté et de l’autre côté cela sera des milliers d’antennes relais dont les faisceaux radiatifs GHz étroits convergeront le transfert de leurs énergies avec une efficacité de 40% vers un seul point récepteur terrestre distant d’environ de 1 à 6 km de toute zone habitée. Pour les industriels cela sera par exemple un site nucléaire isolé qui pourrait être reconverti pour l’occasion en site de production d’hydrogène vert. Ces satellites géants réfléchiront immanquablement beaucoup de lumière solaire, éclipsant toutes les lumières actuelles du ciel nocturne excepté celle de la Lune. Les images des télescopes postés au sol pourraient devenir inexploitables, mais pas seulement car une nouvelle pollution environnementale parasitaire irradiante micro-ondes mondiale va être créée. Par conséquent, indépendamment de l’impact sur la santé humaine,

la faune et la flore et la climatologie, notamment la molécule d’eau dans l’atmosphère, ces irradiations énergétiques parasitaires pourraient perturber toute la radioastronomie qui repose sur des instruments très sensibles. À ce jour, il n’y a aucune restriction en vertu du droit international sur la taille des satellites. Ces nouveaux lancements pourraient mettre en évidence les limites des réglementations existantes et aider à la mise en place d’une nouvelle politique spatiale internationale de réglementations.