5G Perturbations altimètres/IFR avions

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5G Perturbations altimètres/IFR avions : France DGAC et ANFR protocole avec plan zones exclusions ou précaution sites antennes relais et faisceaux radiatifs 5G

Avec la 5G les avions sont devenus EHS (Électro Hyper Sensibles) : des couloirs de Zones Blanches de 5G de plusieurs kilomètres viennent d’être créés !
Dit autrement puisque les avions ne sont pas compatibles avec les Hautes Fréquences micro-ondes de la 5G ont créé des Zones Blanches, mais pour les humains EHS ont ne créé pas de Zone Blanche !

De plus Direction Générale de l'Aviation Civile (DGAC) a émis l'avertissement suivant : Les téléphones mobiles 5G pourraient perturber le fonctionnement des altimètres des avions en raison de leur recours à des ondes de fréquences voisines, a-t-on appris mardi auprès de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), qui recommande d'éteindre ces mobiles à bord des appareils.
"L'utilisation d'appareils 5G à bord des aéronefs pourrait conduire à des risques d'interférences conduisant à des erreurs potentielles sur les mesures d'altitude", a précisé à l'AFP un porte-parole de la DGAC.

Protocole ANFR/DGAC : Figure de définition autour des pistes d’aéroports, en complément de l’interdiction pour les opérateurs 5G d’orienter leurs faisceaux vers le haut et des mesures qu’ils doivent prendre pour éviter des configurations où apparaissent des « lobes de réseaux » dans les antennes relais actives (dont la propriété est de pouvoir rayonner une énergie importante vers le haut).
La figure 1 décrit les dimensions de ces zones :
1- Définition de la zone de sécurité 200 ft (exclusion totale sites d’antennes relais et azimuts faisceaux) (couleur rouge) : La distance d’exclusion de 2 100 m x 910 m x 2 s’applique à partir des deux extrémités des pistes soit au total 4200 m de long sur 1 820 m de large.
2 - Définition de la zone de précaution 1000 ft (couleur bleue) qui correspond à l’abaissement niveau d’émissions radiatives Hautes Fréquences artificielles micro-ondes MHz et GHZ : La distance de précaution de 6 100 m x 400 m x 2 s’applique à partir des deux extrémités des pistes soit au total 12 000 m de long sur 800 m de large.

La longueur totale de ces zones de sécurité (exclusion) et de précaution est donc 4 200 m + 12 000 m soit 16,2 km de long à laquelle il faut rajouter la longueur de la piste qui est en moyenne de 2 500 m !
En cas des plusieurs pistes ce qui est le cas des grands aéroports français, si les longueurs des zones de sécurité (exclusion) et de précaution restent identiques, par contre leurs largeurs sont à multiplier par le nombre de pistes.

AFP
TITRE : La 5G peut causer des interférences avec les altimètres des avions.
L'avertissement émane de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), qui recommande d'éteindre ces mobiles à bord des appareils.
Les téléphones 5G pourraient perturber le fonctionnement des altimètres des avions en raison de leur recours à des ondes de fréquences voisines, a-t-on appris mardi auprès de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), qui recommande d'éteindre ces mobiles à bord des appareils.

"L'utilisation d'appareils 5G à bord des aéronefs pourrait conduire à des risques d'interférences conduisant à des erreurs potentielles sur les mesures d'altitude", a précisé à l'AFP un porte-parole de la DGAC.
Ce possible phénomène, dû au "brouillage de signal par une onde de fréquence proche et de puissance comparable ou supérieure à celle des radioaltimètres", provoquerait des erreurs "particulièrement critiques lors des phases d'atterrissage aux instruments", a relevé la DGAC.
Éteindre ou activer le mode avion sur les appareils disposant de la 5G
L'administration a émis la semaine dernière un bulletin d'information à ce sujet, à destination des opérateurs de vols.
Ce document mentionne plusieurs mesures de prévention. Il demande en particulier qu'à bord, "tous les appareils électroniques compatibles en 5G (soient) en mode avion ou éteints".
En outre, "en cas de perturbation, les équipages doivent informer le prestataire de services de la circulation aérienne afin que ce dernier prenne les actions opérationnelles nécessaires et alerte l'autorité de surveillance ainsi que le gestionnaire d'aéroport", selon la même source.

La DGAC a en outre indiqué avoir "cadré les conditions de mise en œuvre des antennes 5G sur le territoire afin de maîtriser ces risques d'interférence avec les systèmes embarqués lors des phases d'atterrissage sur les aéroports français".
Cela s'est traduit par une limitation du niveau de puissance des émissions des antennes 5G, en cours de déploiement sur le territoire, "à proximité des 17 aéroports certifiés pour des opérations d'atterrissage dits +tous temps+", selon la DGAC qui avait annoncé en novembre des "analyses techniques complémentaires" pour "s'assurer de la compatibilité de ces stations avec les besoins de l'aviation civile".

DGAC : "limitation du niveau de puissance des émissions des antennes relais 5G à proximité des aéroports"
"Pour les 123 autres aéroports du territoire, une surveillance des antennes déployées à proximité est mise en place en coordination étroite avec l'Agence nationale des fréquence (ANFR) avec des moyens d'action renforcés permettant d'agir rapidement" en cas d'alerte sur une perturbation, a souligné l'administration mardi.
En conséquence, si en France la polémique n'existe pas, c'est parce que la Direction Générale de l'Aviation Civile et l'ANFR ont pris des dispositions pour
exclure ou réglementer la 5G dans les zones d'approches et d'atterrissages !